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Portes Ouvertes Safi 2015
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Fête de la femme Safi 2018
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Afin de respecter les normes internationales en matière de renouvellement de l’année de base de la comptabilité nationale qui fixe la périodicité des enquêtes de structure à 5 ans, et compte tenu des mutations qu’a connues le tissu économique national ces dernières années, le Haut Commissariat au Plan a réalisé, en 2015, l’enquête nationale sur les structures économiques.


Enquête nationale sur les structures économiques 2015 : principaux résultats du secteur des industries manufacturières
L’enquête a touché un échantillon de 15 000 entreprises organisées (disposant d’une comptabilité formelle conformément à la réglementation comptable en vigueur au Maroc), opérant dans les secteurs de la pêche, de l’énergie, des mines, de l’industrie industrie manufacturière, du bâtiment et travaux publics, du commerce et des services marchands non financiers au titre de l’exercice 2014.
 
L’enquête s’est assignée pour objectif principal de fournir à la Comptabilité Nationale les données requises pour l’élaboration des comptes de production et d’exploitation par branche d’activité économique et ce, selon la nouvelle année de base 2014. L’enquête permettra, par ailleurs, aux décideurs et opérateurs économiques, qu’ils soient publics ou privés, de disposer d’une batterie d’indicateurs reflétant aussi bien la structure de production et de consommation par branche d’activité que le comportement des chefs d’entreprises dans les domaines de consommation d’énergie, de gestion des ressources humaines, d’investissement, de financement, etc.  
 
La présente note relate les principaux résultats de l’enquête relatifs aux entreprises organisées opérant dans l’industrie manufacturière. La première partie présente la situation du secteur. La deuxième partie, quant à elle, relate ses principales structures, tandis que la troisième expose quelques indicateurs économiques et financiers. 

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Suite à la publication des résultats du dernier Recensement Général de la Population et de l’Habitat de 2014, le Haut-commissariat au Plan a procédé à l’actualisation des projections de la population aux niveaux national, urbain et rural, selon les normes internationales en vigueur et ce selon trois variantes : « haute », « moyenne » et « basse ».


Les projections de la population et des ménages entre 2014 et 2050
La population du Maroc passerait, selon la variante moyenne, à 43,6 millions en 2050 au lieu de 33,8 millions d’habitants en 2014, soit une croissance additionnelle moyenne de 272 mille habitants par an, qui est l’équivalent de la population d’une ville moyenne comme Séfrou.
L’évolution démographique marocaine serait principalement urbaine, due en partie à l’exode rural et à l’urbanisation des zones rurales. Les villes marocaines abriteraient, en 2050, 73,6% des habitants du pays au lieu de 60,3% en 2014, avec respectivement 32,1 millions et 20,4 millions. La population rurale connaîtrait, en revanche, un léger recul de son effectif ; de 13,4 millions de personnes en 2014, elle serait de 11,5 millions vers 2050.

Une baisse progressive des effectifs de la population jeune

Les effectifs des enfants de moins de 15 ans connaîtraient une baisse due à la diminution supposée de la fécondité entre 2014 et 2050. Ainsi, les effectifs passerait pour les enfants de 4-5 ans, enfants d’âge préscolaire, de 1,3 millions à 1 million, pour les enfants de 6-11 ans, enfants scolarisables dans le primaire, de 3,6 millions à 3,2 millions et pour les enfants de 12-14 ans, enfants scolarisables au deuxième cycle du fondamental, de 1,8 millions à 1,6 millions.

La population en âge d’activité en augmentation

La population potentiellement active, 15-59 ans, serait de 25,6 millions en 2050 au lieu de 21,1 millions en 2014. L’effectif de la population âgée de 18-24 ans, considérée comme celle des nouveaux entrants au marché du travail, connaîtrait un faible accroissement de 4,3 millions en 2014 à 4,5 millions en 2032. Au-delà, elle diminuerait sensiblement pour atteindre 3,8 millions en 2050, enregistrant une baisse d’environ 10% sur la période des projections.

Le vieillissement de la population en accentuation

Les personnes âgées de 60 ans ou plus verraient leur effectif s’accroître à un rythme soutenue de 3,3% par an en moyenne entre 2014 et 2050. Cette population serait multipliée par plus de 3 fois passant de 3,2 millions à 10,1 millions. Elle représenterait 23,2% de la population totale alors qu'elle ne constituait que 8,1% et 9,4%, respectivement en 2004 et 2014.

Un doublement du nombre des ménages

Le nombre de ménages atteindrait 13,7 millions au lieu de 7,3 millions, soit 177 mille ménages additionnels par an, en moyenne.
L'accroissement du nombre de ménages s'accompagnerait d'un changement dans la structure, selon l’âge et le sexe, des chefs de ménage. Ainsi, la prédominance masculine tendrait à diminuer et le poids des ménages dirigés par des femmes passerait de 16% à 21% entre 2014 et 2050.

Une diminution de la taille moyenne des ménages

La taille moyenne des ménages connaîtrait une baisse significative, passant de 4,6 personnes en 2014 à 3,2 en 2050. Elle serait due au fléchissement de la fécondité entrainant la baisse du nombre moyen d’enfants par ménage et à l’accroissement de la nucléarisation des familles induisant une diminution du nombre moyen d’adultes par ménage.

Cinq régions contribueraient par près de trois quart au croît démographique total

La répartition de la population du pays selon les régions et les provinces a été projetée uniquement jusqu’en 2030 pour des considérations techniques concernant la stabilité des évolutions fondant les paramètres démographiques.
Il en ressort que les cinq régions, les plus peuplées en 2014, continueraient à l’être en 2030 et contribueraient par environ 74,3% à l’accroissement démographique total du Maroc. Il s’agit du Grand Casablanca-Settat (26,2%), de Rabat-Salé-Kénitra (13%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (12%), de Sous-Massa (11,6%) et de Marrakech-Safi (11,4%). 
Par ailleurs, les régions du Sud connaîtraient les taux d’accroissement annuel moyen les plus élevés avec un taux de 1,4%, supérieur à la moyenne nationale pour la période, de 0,96%. En revanche, les régions de Darâa-Tafilalet, Béni-Mellal- Khénifra et Fès-Meknès s’accroitraient à un rythme plus faible, aves un taux d’accroissement de moins de 0,6% en moyenne par an.

Douze provinces constitueraient près des quatre dixièmes de la population totale du Maroc

En 2014, douze provinces constituaient, à elles seules, 39,6% de la population totale du Maroc. Elles continueraient à avoir presque le même poids vers 2030 avec 38,9% de la population du Maroc. Il s’agit des provinces de Casablanca; Marrakech; Fès; Tanger-Assilah; Kénitra; Salé; Taroudannt; Meknès; El Jadida; Safi; Taounate et Settat, qui abritent de grandes municipalités ou d’arrondissements de plus de 100 mille habitants.
Les provinces les plus dynamiques au plan démographique seraient celles de Médiouna et Nouaceur avec un taux d’accroissement de 5,8% et Oued Ed-Dahab (4,4%) entre 2014 et 2030, suivies des préfectures de M'Diq-Fnideq et Skhirate-Témara avec 3,1%.
Les provinces qui connaitraient une forte régression et un taux d’accroissement négatif seraient celles de Taza (-1,0%), Sidi Bennour  (-1,1%), Rabat  (-1,6%), Driouch (-1,4%), Sidi Ifni (-1,4%) et Aousserd (-2,0%).

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A l’occasion de la célébration de la Journée Nationale de la Femme le 10 octobre 2014, le Haut-Commissariat au Plan réédite ce recueil de données statistiques sur l’évolution de la situation jusqu'à 2015 de la femme marocaine.


La femme marocaine en chiffres:Tendances d’évolution des caractéristiques démographiques et socioprofessionnelles 2016

Le Haut-commissariat au Plan présente ce recueil de données statistiques et de graphiques sur l’évolution jusqu’à 2015 de la situation de la femme marocaine.

Outre des informations sur les structures et les phénomènes démographiques (natalité, mortalité, nuptialité, divorce, etc.) et l’éducation-formation, ce document comporte des données sur la violence à l’égard des femmes, la pauvreté et la vulnérabilité ainsi que sur la situation de la femme dans le marché de travail et son emploi du temps.

Les informations contenues dans ce recueil, sont présentées aussi bien pour l’ensemble du Maroc que pour les deux milieux urbain et rural. Elles proviennent principalement des enquêtes statistiques et recensements réalisés par le HCP; mais également des statistiques produites par certains départements ministériels dont notamment l’Education Nationale, la Justice, la Santé, les Finances ou encore la
Formation Professionnelle.

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Pour le suivi des niveaux et des conditions de vie de la population marocaine, le Haut Commissariat au Plan réalise des enquêtes périodiques sur la consommation et les dépenses des ménages. L’enquête de 2013/2014 est la cinquième investigation nationale du genre. Elle vise à collecter les données intégrées qui se rapportent aux dépenses, aux quantités consommées et aux conditions de vie de la population.

Avant d’aborder un résumé des principaux résultats dégagés de cette enquête, il est non moins important de donner un bref aperçu sur ses principaux aspects méthodologiques.


Présentation des résultats de l’Enquête Nationale sur la Consommation et les Dépenses des Ménages 2013/2014
I- Quelques aspects méthodologiques
1. Objectifs de l’enquête :

L’enquête sur les dépenses des ménages est sans contre dit une enquête à sujets multiples et vise à collecter des données suffisamment détaillées sur les dépenses et la consommation alimentaire des ménages en vue :
- d’analyser le niveau et les tendances des dépenses des ménages selon les différentes fonctions de consommation et les principales
caractéristiques socio-économiques et spatiales des chefs de ménages ;
- d’alimenter les données de la nouvelle année de base 2014 de la Comptabilité Nationale et la matrice sociale ;
- de mettre à jour le panier de référence de l’Indice des Prix à la Consommation ;
- d’actualiser les indicateurs liés aux inégalités et à la pauvreté sous ses différentes formes ;
- d’actualiser les études sur les aspects nutritionnels et anthropométriques ;
- d’alimenter l’information nationale pour la recherche économique et sociale.

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Cette note a pour objectif principal de fournir une mise à jour des indices de la pauvreté sous ses formes monétaire et multidimensionnelle ainsi que des inégalités sociales et territoriales, et de dresser un bref aperçu sur le profil de leurs dynamiques. Les estimations sont établies sur la base des données de l’Enquête Nationale sur la Consommation et les Dépenses des Ménages (ENCDM) réalisée en 2014.


Inégalités sociales et territoriales à la lumière des résultats de l’Enquête Nationale sur la Consommation et les Dépenses des Ménages 2014
L'approche monétaire de la pauvreté et des inégalités sociales exige l'usage du revenu ou des dépenses de consommation comme indicateur de niveau de vie. Cependant, au Maroc, le revenu demeure sujet à des limites inhérentes à son observation et à son usage empirique. Dans ce contexte, les dépenses de consommation constituent une alternative pouvant servir d’agrégat permettant d’approcher monétairement le niveau de vie. En outre, cette option est soutenue par deux arguments : (1) la fluctuation des revenus et leur vulnérabilité aux déclarations; et (2) la difficulté de l’enquêté à se rappeler avec exactitude les revenus tirés de nombreuses activités informelles.

Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) mesure le seuil de la pauvreté monétaire en se basant sur la composante alimentaire, conformément aux normes de la FAO-OMS, et la méthode d’estimation de la composante non-alimentaire de ce seuil, développée par la Banque mondiale. Le seuil de la pauvreté alimentaire est le coût d’un panier de biens et services alimentaires garantissant l’ingestion calorique minimale requise par la norme recommandée par l'AFO et l'OMS. Le minimum requis en calories par individu et par jour a été établi en appliquant la table des besoins énergétiques recommandés (Recommanded Daily allowance, FAO-OMS) à la structure de la population selon le sexe, l’âge et la situation des femmes vis-à-vis de la grossesse et de l’allaitement.

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L’Enquête Nationale sur la sphère des activités informelles réalisée en 2013/2014 a permis d’actualiser les informations sur les unités de production opérant dans ce secteur, son mode d’insertion dans l’économie nationale et sa contribution à la création de la richesse et de l’emploi.


 Présentation des résultats de l’Enquête Nationale sur la sphère des activités informelles 2013/2014
Il est à rappeler que cette enquête concerne toutes les unités de production non agricoles ne disposant pas d’une comptabilité conformément à la réglementation comptable en vigueur au Maroc. La disposition d’une comptabilité signifie la présentation des documents comptables retraçant à la fois les flux au cours de l’année et le bilan de ses actifs et passifs en  début et en fin de cette période. Le secteur informel tel qu’il est défini dans l’enquête n’inclut pas les activités illicites ou illégales.
 
            La réalisation de l’enquête a nécessité une approche en deux phases pour l’identification des unités informelles et ce, en raison de l’absence d’une base de sondage qui couvre toutes les composantes  de ce secteur (unités localisées, unités sans local et unités exerçant à domicile). Cette approche a consisté d’abord à identifier un échantillon des unités de production informelles à partir de l’enquête nationale sur l’emploi et d’enquêter dans une deuxième phase, les unités identifiées. Au total un échantillon de 10 085 unités de production informelles a été enquêté.

Pour tenir compte des variations saisonnières, la collecte des données sur le terrain s’est étalée sur une période d'une année, de juin 2013 à mai  2014.

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Rapport relatif à l'étude sur le Rendement du Capital Physique au Maroc
L'une des caractéristiques fondamentales, qui distinguent les pays en développement des pays développés, est l'abondance de main-d'œuvre et la rareté du capital. Cette situation s’est traduite pendant longtemps, dans les pays en développement, par la fixation d’objectifs prioritaires de réalisation d’une croissance économique créatrice d’emploi à niveau de qualification de même nature que celle de l’offre de travail disponible (non qualifié). Les programmes de développement mis en œuvre dans cette perspective privilégiaient davantage les investissements répondant à cette préoccupation sociale au détriment de la recherche d’une meilleure productivité soutenue par l’utilisation d’une main d’œuvre hautement qualifiée capable d’acquérir le savoir-faire et la maitrise des technologies.

L’expérience marocaine ne devrait pas s’éloigner de celles des pays avancés et émergents. Le Maroc s’est engagé au lendemain de son indépendance dans un processus de mise à niveau du secteur agricole et d’installation d’une activité industrielle de substitution à l’importation et de promotion des exportations.
Une attention particulière a été réservée, par ailleurs, à la mise en place d’une infrastructure économique et sociale importante, mais appelant une longue période pour sa concrétisation. Cette politique volontariste s’est traduite, cependant, par des déficits financiers structurels et l’adoption, comme option impérative d’un programme d’ajustement structurel dans les années 80 et 90.


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Population légale de la Province de Safi selon le RGPH 2014 : 691 983

Journée Mondiale de la Statistique, Safi 2015