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Cette note présente la séquence complète des comptes non financiers et financiers de l’année 2019. Il en ressort que :
Le produit intérieur brut (PIB), aux prix courants, a affiché une valeur de 1151,2 milliards de DH en 2019, en augmentation de 3,9% par rapport à 2018 ;
- les sociétés financières et non financières ont créé 43,7% de la richesse nationale et ont disposé de 15,2% du revenu national brut disponible. Elles ont contribué pour 56,3% à l’épargne nationale et pour 55,3% à l’investissement (formation brute du capital fixe);
- les ménages et les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) ont produit 29,3% de la richesse nationale et ont disposé de 62,6% du revenu national brut disponible. Ils ont participé à la création de 29,8% de l’épargne nationale et de 26% de l’investissement ;
- Le pouvoir d’achat s’est amélioré de 2,6% dans un contexte de maîtrise de l’inflation.
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comptes_nat_secteurs_institutionnels_annee_2019_fr.doc
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L’arrêté du compte satellite du tourisme pour l’année 2019 fait ressortir un ralentissement du taux d’accroissement du produit intérieur brut touristique de 5,9% au lieu de 6,2% en 2018 et une hausse de celui de la consommation intérieure du tourisme de 5,7% au lieu de 5,4%.
C’est ainsi que la consommation intérieure du tourisme s’est établie à 138,3milliards de dirhams en 2019 au lieu de 130,8 milliards en 2018, en augmentation de 5,7%. Cette évolution est le résultat de l’accroissement de la consommation intérieure du :
Compte tenue de l’augmentation de 2,4% des impôts nets de subventions sur les produits touristiques, le PIB du tourisme s’est, au total, accru de 5,9% au lieu de 6,2% l’année précédente, se chiffrant à 81,4 milliards de dirhams en 2019 contre 76,9 milliards en 2018. Sa contribution au PIB national a connu une légère hausse pour se situer à 7,1% en 2019 après 6,9% une année auparavant.
En annexe les tableaux présentant les résultats du compte satellite du tourisme 2019.
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- tourisme récepteur de 4,8% au lieu de 5,9% en 2018, passant de 89 milliards de dirhams en 2018 à 93,2 milliards en 2019 ;
- tourisme interne et émetteur de 7,6% au lieu de 4,4%, passant de 41,8 milliards de dirhams en 2018 à 45 milliards en 2019.
- la part du tourisme récepteur dans la consommation intérieure a baissé de 68% en 2018 à 67,4% en 2019, celle du tourisme interne et émetteur s’est accrue de 32% en 2018 à 32,6% en 2019.
- la production du secteur du tourisme s’est située à 122,6 milliards de dirhams en 2019 au lieu de 115,5 milliards en 2018, avec un taux d’accroissement de 6,1%.
- La valeur ajoutée, de son côté, est passée de 61,6 milliards de dirhams en 2018 à 65,8 milliards en 2019 enregistrant ainsi une croissance de 6,8% par rapport à l’année précédente.
Compte tenue de l’augmentation de 2,4% des impôts nets de subventions sur les produits touristiques, le PIB du tourisme s’est, au total, accru de 5,9% au lieu de 6,2% l’année précédente, se chiffrant à 81,4 milliards de dirhams en 2019 contre 76,9 milliards en 2018. Sa contribution au PIB national a connu une légère hausse pour se situer à 7,1% en 2019 après 6,9% une année auparavant.
En annexe les tableaux présentant les résultats du compte satellite du tourisme 2019.
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L’IPC du mois de décembre 2019 a connu une stagnation par rapport au mois précédent ; au terme de l’année 2019, l’IPC annuel moyen aura progressé de 0,2% et l’indicateur annuel d’inflation sous-jacente de 1,0%.
Stagnation de l’IPC et la baisse de 0,1% de l’indicateur d’inflation sous-jacente au cours du mois de décembre 2019
L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois de décembre 2019, une stagnation par rapport au mois précédent. Cette stagnation est le résultat de la stagnation de l’indice des produits alimentaires et celui de l’indice des produits non alimentaires.
Les baisses des produits alimentaires observées entre novembre et décembre 2019, concernent principalement les «poissons et fruits de mer » avec 2,1%, les « viandes » avec 0,8% et le « Café, thé et cacao » avec 0,4%. En revanche, les prix ont augmenté de 1,8% pour les « légumes », de 0,3% pour le « Lait, fromage et œufs» et les « Huiles et graisses » et de 0,2% pour les « Fruits ». Pour les produits non alimentaires, la baisse a concerné principalement les prix des «Carburants» de 0,2%.
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu une baisse de 0,1% au cours du mois de décembre 2019 par rapport au mois précédent.
Hausse de l’IPC annuel de 0,2% et de l’indicateur annuel d’inflation sous-jacente de 1,0%
L'IPC annuel moyen a enregistré, au terme de l’année 2019, une augmentation de 0,2% par rapport à l’année 2018. Conséquence de la hausse de l’indice des produits non alimentaires de 0,9% et de la baisse de celui des produits alimentaires de 0,5%. Les variations enregistrées pour les produits non alimentaires vont d’une stagnation pour le «Transport» à une hausse de 3,1% pour l’«Enseignement».
Sur cette base, l’indicateur d’inflation sous-jacente aurait connu une hausse de 1,0% au cours de l’année 2019 par rapport à l’année 2018.
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L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois de décembre 2019, une stagnation par rapport au mois précédent. Cette stagnation est le résultat de la stagnation de l’indice des produits alimentaires et celui de l’indice des produits non alimentaires.
Les baisses des produits alimentaires observées entre novembre et décembre 2019, concernent principalement les «poissons et fruits de mer » avec 2,1%, les « viandes » avec 0,8% et le « Café, thé et cacao » avec 0,4%. En revanche, les prix ont augmenté de 1,8% pour les « légumes », de 0,3% pour le « Lait, fromage et œufs» et les « Huiles et graisses » et de 0,2% pour les « Fruits ». Pour les produits non alimentaires, la baisse a concerné principalement les prix des «Carburants» de 0,2%.
Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu une baisse de 0,1% au cours du mois de décembre 2019 par rapport au mois précédent.
Hausse de l’IPC annuel de 0,2% et de l’indicateur annuel d’inflation sous-jacente de 1,0%
L'IPC annuel moyen a enregistré, au terme de l’année 2019, une augmentation de 0,2% par rapport à l’année 2018. Conséquence de la hausse de l’indice des produits non alimentaires de 0,9% et de la baisse de celui des produits alimentaires de 0,5%. Les variations enregistrées pour les produits non alimentaires vont d’une stagnation pour le «Transport» à une hausse de 3,1% pour l’«Enseignement».
Sur cette base, l’indicateur d’inflation sous-jacente aurait connu une hausse de 1,0% au cours de l’année 2019 par rapport à l’année 2018.
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L’arrêté des comptes nationaux des secteurs institutionnels de l’année 2018, qui représentent la séquence complète des comptes non financiers et financiers en base 2007, montre que :
- Le produit intérieur brut (PIB), aux prix courants, a affiché une valeur de 1106,8 milliards de DH en 2018, en augmentation de 4,1% par rapport à 2017;
- les sociétés financières et non financières ont crée 43,6% de la richesse nationale et ont disposé de 14,9% du revenu national brut disponible. Elles ont contribué pour 55,3% à l’épargne nationale et pour 56,8% à l’investissement (formation brute du capital fixe);
- les ménages et les institutions sans but lucratif au service des ménages (ISBLSM) ont produit 29,5% de la richesse nationale et ont disposé de 62,5% du revenu national brut disponible. Ils ont participé à la création de 27,7% de l’épargne nationale et de 25,2 % de l’investissement ;
- Le pouvoir d’achat s’est légèrement amélioré à 0,4% dans un contexte de maîtrise de l’inflation.
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Le Haut Commissariat au Plan informe les utilisateurs des indices statistiques qu’il a adopté une nouvelle année de base 2015 au lieu de 2010 de l’indice de la production industrielle, énergétique et minière.
Cette nouvelle série a connu l’actualisation de l’échantillon des produits et des entreprises, la révision de la structure des pondérations et l’adoption de la Nomenclature Marocaine des Activités de l’année 2010 au lieu de celle de 1999.
A noter que le nouveau panier de référence contient 436 articles au lieu de 378 articles et que les pondérations des produits ont été actualisées sur la base des nouvelles données sur la structure de production issue de l’enquête de structure réalisée par le HCP en 2014.
Enfin, il est à signaler que le HCP procèdera à la publication, sur son site web, des indices trimestriels et annuels du nouvel indice de la production et ce pour la période allant de 2016 à 2019.
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Cette nouvelle série a connu l’actualisation de l’échantillon des produits et des entreprises, la révision de la structure des pondérations et l’adoption de la Nomenclature Marocaine des Activités de l’année 2010 au lieu de celle de 1999.
A noter que le nouveau panier de référence contient 436 articles au lieu de 378 articles et que les pondérations des produits ont été actualisées sur la base des nouvelles données sur la structure de production issue de l’enquête de structure réalisée par le HCP en 2014.
Enfin, il est à signaler que le HCP procèdera à la publication, sur son site web, des indices trimestriels et annuels du nouvel indice de la production et ce pour la période allant de 2016 à 2019.
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L’arrêté des comptes nationaux de l’année 2018 fait ressortir un ralentissement de la croissance de l’économie nationale se situant à 3% au lieu de 4,2% en 2017. Cette croissance a été tirée par la consommation finale des ménages et l’investissement dans le contexte d’une inflation maitrisée et d’un besoin de financement de l’économie nationale en augmentation
Il ressort de ces comptes les principaux résultats suivants :
Une croissance économique en ralentissement :
Le secteur agricole a affiché un net ralentissement de son rythme de croissance, passant de 15,2 % en 2017 à 4% durant l’année 2018.
De son côté, le secteur des activités non agricoles a réalisé un ralentissement du taux d’accroissement de sa valeur ajoutée passant de 2,9% en 2017 à 2,6% l’année 2018.
Dans ces conditions, et tenant compte de l’accroissement des impôts sur les produits nets des subventions de 4,6% au lieu de 3,1%, le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume s’est accru de 3% en 2018 au lieu de 4,2% l’année précédente.
Aux prix courants, le PIB a connu une augmentation de 4,1% en 2018 au lieu 4,9% une année auparavant, dégageant ainsi une hausse du niveau général des prix de 1,1% au lieu de 0,7%.
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Une croissance économique en ralentissement :
Le secteur agricole a affiché un net ralentissement de son rythme de croissance, passant de 15,2 % en 2017 à 4% durant l’année 2018.
De son côté, le secteur des activités non agricoles a réalisé un ralentissement du taux d’accroissement de sa valeur ajoutée passant de 2,9% en 2017 à 2,6% l’année 2018.
Dans ces conditions, et tenant compte de l’accroissement des impôts sur les produits nets des subventions de 4,6% au lieu de 3,1%, le Produit Intérieur Brut (PIB) en volume s’est accru de 3% en 2018 au lieu de 4,2% l’année précédente.
Aux prix courants, le PIB a connu une augmentation de 4,1% en 2018 au lieu 4,9% une année auparavant, dégageant ainsi une hausse du niveau général des prix de 1,1% au lieu de 0,7%.
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La transition de la fécondité est le passage d’un niveau de fécondité élevé à une fécondité basse jusqu’à atteindre le taux de remplacement des générations, qui peut être même dépassé. Une fois ce processus amorcé, la baisse a tendance à s’opérer sans interruption. Ce schéma classique, certes vérifié dans le cas de bien de pays, n’est, cependant, pas universellement observé.
Amorce d’une hausse de la fécondité ?
Depuis le début des années soixante la fécondité a considérablement baissé. Elle est passée de 7,20 enfants par femme en 1962 à 3,28 en 1994, à 2,47 en 2004 et à 2,19 en 2010 et a connu une faible hausse, passant à 2,20 enfants par femme en 2014, soit pratiquement une stagnation. En milieu rural, la fécondité a baissé de 6,91 en 1962 à 4,25 en 1994, ensuite à 3,06 en 2004, puis à 2,70 en 2010 et à 2,55 en 2014. Tandis qu’en milieu urbain, elle a baissé respectivement de 7,77 à 2,56, puis 2,05 et 1,80 avant une légère reprise, à 2,01 enfants par femme, enregistrée en 2014.
Toutefois, la baisse a été interrompue, puisque l’indice synthétique de la fécondité révélé par le RGPH 2014 (2,21 enfants) est légèrement supérieur à celui estimé par l’Enquête Nationale Démographique à Passage Répété 2009-2010 (2,19 enfants) suite à un léger accroissement de la fécondité en milieu urbain (1,8 contre 2,01 enfants) (Figure 1).
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Depuis le début des années soixante la fécondité a considérablement baissé. Elle est passée de 7,20 enfants par femme en 1962 à 3,28 en 1994, à 2,47 en 2004 et à 2,19 en 2010 et a connu une faible hausse, passant à 2,20 enfants par femme en 2014, soit pratiquement une stagnation. En milieu rural, la fécondité a baissé de 6,91 en 1962 à 4,25 en 1994, ensuite à 3,06 en 2004, puis à 2,70 en 2010 et à 2,55 en 2014. Tandis qu’en milieu urbain, elle a baissé respectivement de 7,77 à 2,56, puis 2,05 et 1,80 avant une légère reprise, à 2,01 enfants par femme, enregistrée en 2014.
Toutefois, la baisse a été interrompue, puisque l’indice synthétique de la fécondité révélé par le RGPH 2014 (2,21 enfants) est légèrement supérieur à celui estimé par l’Enquête Nationale Démographique à Passage Répété 2009-2010 (2,19 enfants) suite à un léger accroissement de la fécondité en milieu urbain (1,8 contre 2,01 enfants) (Figure 1).
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Fax: 0524611147
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