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Le bilan socio-économique régional dresse le portrait de la dynamique qu’ont connue les régions selon le nouveau découpage territorial du royaume. Il en ressort que, en dépit des progrès réalisés, ces dernières n’en ont pas bénéficié dans les mêmes proportions : les régions qui ont le mieux profité du développement sont celles où l’investissement dans les qualifications des capacités humaines était déjà, à la fin des années 1990, le plus important et où l’urbanisation évoluait à un rythme significatif. Le caractère structurel des disparités régionales en matière de développement socio-économique et humain s’est relativement atténué depuis. Ces disparités se réduisent certes, mais uniquement dans les domaines prioritaires comme la lutte contre la pauvreté absolue et l’accès aux équipements sociaux et à la scolarisation de base.
 
L’analyse des disparités régionales montre à quel point l’importance de la prise en compte de la variable spatiale est fondamentale dans la mise en œuvre des politiques publiques. Ni la nature des déficits socio-économiques ni la vitesse de leur réduction ne sont uniformes au niveau régional. Cela montre clairement la nécessité d’une politique de développement localement repensée et centrée sur une redéfinition des besoins humains, économiques et sociaux. 
 
mise en ligne le Mercredi 28 Novembre 2018 à 14:32 | Commentaires (0)

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Base de données Inventaire Communal Rural 2010/2011




 
Réalisée entre 2010 et 2011, cette enquête a touché l'ensemble du territoire national rural (soit 1282 communes rurales et 130 centres urbains) et s'est assignée les objectifs suivants:
 
  • La détermination du niveau d’équipement de chaque localité et son degré d’autonomie;
  • La constitution d’une banque de données communales pouvant contribuer à guider toute action de développement qu’elle relève des collectivités locales, du secteur public ou du secteur privé. 
  • La mise à la disposition des décideurs aux différents niveaux (communal, provincial, régional ou national) un outil de planification et de gestion pour mieux cibler leurs interventions.
 
 
mise en ligne le Mercredi 28 Novembre 2018 à 12:37 | Commentaires (0)

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الحماية الاجتماعية حسب معطيات البحث الوطني حول التشغيل




 
مختصرات المندوبية السامية للتخطيط، عدد 6 - 14 نونبر 2018
 
 
 

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mise en ligne le Jeudi 22 Novembre 2018 à 10:40 | Commentaires (0)

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Les Brefs du Plan N° 6 - 11 Novembre 2018
Cette note présente les niveaux d'accès de la population à la couverture médicale et de retraite, tels qu’ils ressortent des résultats de l’enquête nationale sur l’emploi 2017. 

Couverture médicale : près de la moitié de la population marocaine couverte avec des disparités selon le sexe, l'âge et le milieu de résidence

Sur une population estimée, en 2017, à près de 34,8 millions, 16,2 millions de marocains (46,6%) ont une couverture médicale; 15,5% sont des adhérents et 31,1% des ayants droit ou bénéficiaires. La part des femmes est légèrement supérieure à celle des hommes, respectivement 47,6% et 45,5% et celle des citadins nettement au dessus de celle des ruraux, respectivement 53,4% et 35,5%. Le taux de couverture médicale enregistre 56,7% parmi les personnes de 60 ans et plus contre 37,1% parmi les jeunes de 15 à 29 ans.

Le taux de couverture médicale varie de 47,4% pour les personnes vivant dans des ménages dirigés par un homme à 41,1% pour ceux dirigés par une femme.

Il s’améliore nettement selon le diplôme du chef du ménage, passant de 39,3% pour les personnes vivant dans des ménages dont le chef ne dispose d’aucun diplôme à 78,2% pour les personnes relevant de ménages dont le chef dispose d’un diplôme supérieur.

Environ 4 actifs occupés sur 10 âgés de 15 ans et plus ont une couverture médicale

La population active occupée est estimée, en 2017, à 10,7 millions de personnes. Environ 4,6 millions (42,7%), disposent d’une couverture médicale; 35,2% sont des adhérents et 7,5% des bénéficiaires. 47,1% des femmes actives occupées ont une couverture médicale contre 41,3% des hommes et 51,6% des citadins contre 31,8% des ruraux. Ce taux passe de 35,3% parmi les actifs occupés n’ayant aucun diplôme à 78,5% parmi les détenteurs d'un diplôme de niveau supérieur. 
 
 
 

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mise en ligne le Jeudi 22 Novembre 2018 à 10:38 | Commentaires (0)

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Baisse de 0,1% de l’indice des prix à la consommation du mois d’octobre 2018 par rapport au mois précédent. Une inflation de 2,0% sur les dix premiers mois de l’année 2018.

Baisse de 0,1% de l’indice des prix à la consommation, résultant de la baisse de 0,5% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires. L’indicateur d’inflation sous-jacente en hausse de 0,1% sur un mois et de 0,7% sur une année.

 
Baisse de 0,1% de l’indice des prix à la consommation du mois d’octobre 2018 par rapport au mois précédent. Une inflation de 2,0% sur les dix premiers mois de l’année 2018.
L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois d’octobre 2018, une baisse de 0,1% par rapport au mois précédent. Cette variation est le résultat de la baisse de 0,5% de l’indice des produits alimentaires et de la hausse de 0,1% de l’indice des produits non alimentaires.
 
         Les baisses des produits alimentaires observées entre septembre et octobre 2018 concernent principalement les «fruits» avec 4,6%, les « poissons et fruits de mer » avec 3,1% et les « viandes » avec 0,5%. En revanche, les prix ont augmenté de 1,4% pour les « légumes » et de 0,2% pour les « eaux minérales et les boissons rafraichissantes ». Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix des « carburants» avec 1,5%.
 
          Les baisses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Agadir et Al-Hoceima avec 0,4%, à Fès, Kénitra, Rabat et Béni-Mellal avec 0,3% et à Tétouan, Meknès et Laâyoune avec 0,2%. En revanche, des hausses ont été enregistrées à Settat et Safi avec 0,3% et à Guelmim avec 0,2%.
 
          Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 1,1% au cours du mois d’octobre 2018 conséquence de la hausse de l’indice des produits non alimentaires de 2,0% et de la baisse de celui des produits alimentaires de 0,8%. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une hausse de 0,3% dans la «communication» à 6,5% dans les « biens et services divers ».
 
             Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois d’octobre 2018 une hausse de 0,1% par rapport au mois de septembre 2018 et de 0,7% par rapport au mois d’octobre 2017.
 
 

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mise en ligne le Jeudi 22 Novembre 2018 à 10:20 | Commentaires (0)

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Les Brefs du Plan N° 4 - 26 Octobre 2018
En 2013-2014, selon les données de l’ENCDM1, un peu plus de 8 millions de Marocains ont été inscrits dans les différents établissements scolaires au Maroc (du préscolaire au supérieur), soit plus d’un million de personnes de plus 7 années auparavant (2006-2007).

L’enseignement scolaire privé représente près de 16,2% en 2013-2014 enregistrant une augmentation de 1,4 point de pourcentage par rapport à l’année 2006-2007 (14,8%).

Selon le niveau d’études, l’enseignement privé est plus répandu dans le préscolaire (88 %), suivi de loin par le primaire (10,3%) et la formation professionnelle (10,8%),

tandis qu’il ne représente qu’à peine 5,0% dans les autres cycles d’enseignement (collégial, secondaire et supérieur). 
 
 

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mise en ligne le Mercredi 7 Novembre 2018 à 10:07 | Commentaires (0)

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Marché du travail au 3ème trimestre de 2018
Taux de chômage 10% et sous emploi 9,7%
au même trimestre de 2017, 10,6% et 9,9%
Contribution à la création de postes d'emploi : tous les secteurs à l'exception des BTP

Entre le troisième trimestre de l’année 2017 et la même période de 2018, l’économie marocaine a créé 122.000 postes d’emploi, 118.000 en milieu urbain et 4.000 en milieu rural.

 
Marché du travail au 3ème trimestre de 2018 <br>Taux de chômage 10% et sous emploi 9,7%<br>au même trimestre de 2017, 10,6% et 9,9%<br>Contribution à la création de postes d'emploi : tous les secteurs à l'exception des BTP
Les services ont créé 98.000 emplois, l’"industrie y compris l'artisanat" 19.000, l’"agriculture, forêt et pêche" 9.000 alors que le secteur des BTP en a perdu 4.000.

Dans ce contexte, le nombre total des chômeurs s’est établi, entre les deux périodes,  à 1.172.000 chômeurs, en baisse de 64.000 personnes au niveau national, 29.000 en milieu urbain et 35.000 en milieu rural.

Le taux de chômage est ainsi passé de 10,6% à 10% au niveau national ; de 14,9% à 14,3% en milieu urbain et de 4,6% à 3,9% en milieu rural. Ce taux reste relativement élevé parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans (27,5%), les femmes (13,8%) et les diplômés (17,1%). Le taux de chômage atteint parmi les détenteurs d'un diplôme de formation professionnelle 23,9%, 36,5%parmi les femmes et 19,3% parmi les hommes.

Près de 6 chômeurs sur 10 (57%) sont à la recherche de leur premier emploi, 2 sur 3 (64,7%) sont en situation de chômage depuis une année ou plus et un peu plus du quart (26,8%) se sont retrouvés dans cette situation suite au licenciement ou à l’arrêt de l’activité de l’établissement employeur.

De son côté, la population sous-employée s’est établie au troisième trimestre de 2018 à 1.022.000 personnes.  Par rapport au troisième trimestre de 2017, le taux de sous-emploi a baissé de 0,2 point, passant de 9,9% à 9,7% au niveau national ; de 8,3% à 8,2% en milieu urbain et de 11,8% à 11,6% en milieu rural.
 

 
Des taux d’activité et d’emploi en baisse

 
Au troisième trimestre de 2018, la situation du marché de travail a été marquée par une poursuite de la baisse des taux d’activité et d’emploi. La population en âge d’activité (15 ans et plus) s’est accrue, par rapport au troisième trimestre de 2017, à un rythme plus important (+1,7%) que celui de la population active (+0,5%). Le taux d’activité a ainsi reculé de 45,5% à 45% entre les deux périodes ; de 41,5% à 41,1% en milieu urbain et de 52,4% à 51,9% en milieu rural. L’écart des taux d’activité entre hommes et femmes a atteint 49,6 points, avec des taux respectifs de 70,2% et de 20,6%.

Le volume de l’emploi s’est accru de 122.000 postes ; 118.000 en milieu urbain et 4.000 en milieu rural. Selon le type d’emploi, 104.000 emplois rémunérés ont été créés, résultant d’une création de 108.000 en milieu urbain et d’une perte de 4.000 en milieu rural. L’emploi non rémunéré, constitué d’environ 98% d’aides familiales, s’est accru de 18.000 postes, 10.000 en zones urbaines et 8.000 en zones rurales.

Malgré l’accroissement de la population active occupée, le taux d’emploi a reculé de 40,7% à 40,5% (-0,2 point). Il a baissé de 0,1 point aussi bien en milieu urbain qu'en milieu rural. L'écart des taux d'emploi entre hommes et femmes a atteint 46,3 points, avec des taux respectifs de 64% et de 17,7%.
 
 

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emploi_t3_2018_fr.docx emploi_t3_2018_fr.docx  (76.88 Ko)
mise en ligne le Mercredi 7 Novembre 2018 à 09:52 | Commentaires (0)

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Hausse de 0,3% de l’indice des prix à la consommation du mois de septembre 2018 par rapport au mois précédent. Une inflation de 2,1% sur les neufs premiers mois de l’année 2018.

Hausse de 0,3% de l’indice des prix à la consommation, résultant de la hausse de 0,5% de l’indice des produits non alimentaires et de la baisse de 0,2% de l’indice des produits alimentaires. L’indicateur d’inflation sous-jacente en hausse de 0,4% sur un mois et de 0,3% sur une année.

 
Hausse de 0,3% de l’indice des prix à la consommation du mois de septembre 2018 par rapport au mois précédent. Une inflation de 2,1% sur les neufs premiers mois de l’année 2018.
        L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois de septembre 2018, une hausse de 0,3% par rapport au mois précédent. Cette variation est le résultat de la hausse de 0,5% de l’indice des produits non alimentaires et de la baisse de 0,2% de l’indice des produits alimentaires.
 
         Les baisses des produits alimentaires observées entre août et septembre 2018 concernent principalement les «légumes» avec 2,0%, le « lait, fromage et œufs » avec 1,2% et les « viandes » avec 1,1%. En revanche, les prix ont augmenté de 3,5% pour les « fruits » et de 0,3% pour les « poissons et fruits de mer ». Pour les produits non alimentaires, la hausse a concerné principalement les prix de l’ « enseignement » de 3,4%.
 
         Les hausses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Casablanca avec 0,8%, à Fès avec 0,7%, à Meknès avec 0,6%, à Tétouan avec 0,5% et à Agadir et Kénitra avec 0,4%. En revanche, des baisses ont été enregistrées à Al-Hoceima avec 2,5%, à Safi avec 1,1%, à Guelmim avec 0,8%, à Oujda avec 0,7% et à Dakhla avec 0,4%.
 
            Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 1,1% au cours du mois de septembre 2018 conséquence de la hausse de l’indice des produits non alimentaires de 2,1% et de la baisse de celui des produits alimentaires de 0,6%. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une baisse de 0,3% dans la «communication» à une hausse de 6,3% dans les « biens et services divers ».
 
          Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois de septembre 2018 une hausse de 0,4%  par rapport au mois d’août 2018 et une hausse de 0,3% par rapport au mois de septembre 2017.
 
 

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mise en ligne le Lundi 5 Novembre 2018 à 12:56 | Commentaires (0)

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