Menu














مذكرة إخبارية للمندوبية السامية للتخطيط حول نشر الرقم الاستدلالي الجديد للأثمان عند الاستهلاك (أساس 100 : 2017)


En application du décret n° 2.19.1083 publié au Bulletin officiel n° 6880 du 7 mai 2020 fixant les éléments entrant dans la composition du nouvel indice des prix à la consommation base 2017 et qui abroge le décret n° 2.09.529 relatif à l’indice des prix à la consommation base 2006, le Haut-Commissariat au Plan procèdera à la publication du nouvel indice des prix à la consommation base 2017 à partir du 20 mai 2020.
 
Il est à rappeler que la réforme de l’indice des prix à la consommation s’impose en raison des changements, au cours des dernières années, des habitudes de consommations des ménages marocains et du développement de nouvelles approches méthodologiques en la matière. Elle a été rendue possible grâce à la disponibilité des données actualisées fournies par l’enquête sur la consommation et les dépenses des ménages réalisée en 2014 et par le recensement de la population et de l’habitat du 2014.
 
Cette réforme de 2017 est la 5eme génération des réformes des indices des prix à la consommation depuis l’indépendance du Maroc. Elle s’articule autour de plusieurs axes. Sur le plan de la couverture géographique, le champ a été élargi pour couvrir 18 villes représentant toutes les régions du Royaume, au lieu de 17 villes actuellement. Concernant le panier de référence, il a été actualisé et élargi pour contenir 546 articles et 1391 variétés au lieu de 478 articles et 1067 variétés dans le panier de l’indice en vigueur. Les pondérations des différents produits ont été également actualisées sur la base des nouvelles données sur les structures de la consommation.
 
Enfin, le HCP informe les utilisateurs que la série mensuelle, à partir de l’année 2017, de ce nouvel indice des prix à la consommation, sera disponible incessamment sur son site web institutionnel.
 
 

Télécharger le document

ipc_base_2017_fr.docx ipc_base_2017_fr.docx  (113.98 Ko)
mise en ligne le Mercredi 27 Mai 2020 à 13:23 | Commentaires (0)

Publications

Publications

Conditions de la réalisation de l’enquête permanente sur les prix à la consommation au cours de la période de confinement sanitaire de la COVID-19


Comme déjà annoncé dans sa note d’information « Adaptation de l’activité statistique aux exigences de la conjoncture nationale », le Haut-Commissariat au Plan continue de publier l’indice des prix à la consommation, au cours de la période de confinement sanitaire de la Covid-19, avec un calendrier conforme à la NSDD. La collecte des prix à la consommation au cours du mois d’avril 2020 a continué dans les points de vente ouverts en période de confinement. Concernant les prix non relevés, des imputations des données manquantes ont été réalisées.
 
 

Télécharger le document intégral



 
mise en ligne le Mercredi 27 Mai 2020 à 13:19 | Commentaires (0)

Publications

Publications

الرقم الاستدلالي للاثمان عند الاستهلاك لشهر أبريل 2020 (أساس 100 :2017)


Avertissement : En raison du confinement sanitaire entré en vigueur depuis 20 mars 2020, l’enquête permanente sur les prix à la consommation n’a pas pu relever tous les prix. Les prix manquants ont été imputés selon les recommandations du manuel de l’indice des prix à la consommation. Une note d’information à l’attention des utilisateurs de l’IPC est disponible sur le site web du Haut-Commissariat au Plan.  
Baisse de 0,1% de l’indice des prix à la consommation, résultant de la baisse de 0,7% de l’indice des produits non alimentaires et de la hausse de 0,7% de l’indice des produits alimentaires. L’indicateur d’inflation sous-jacente en hausse de 0,1% sur un mois et de 0,9% sur une année.
 
        L’indice des prix à la consommation a connu, au cours du mois d’avril 2020, une baisse de 0,1% par rapport au mois précédent. Cette variation est le résultat de la baisse de 0,7% de l’indice des produits non alimentaires et de la hausse de 0,7% de l’indice des produits alimentaires.
 
         Les hausses des produits alimentaires observées entre mars et avril 2020 concernent principalement les « Poissons et fruits de mer » avec 10,2%, les «Fruits» avec 5,8%, le « Lait, fromage et œufs» avec 0,3% et les « Huiles et graisses » avec 0,1%. En revanche, les prix ont diminué de 1,3% pour les « Viandes » et de 1,2% pour les « Légumes ». Pour les produits non alimentaires, la variation a concerné principalement la baisse des prix des « carburants » avec 16,2%.
 
         Les baisses les plus importantes de l’IPC ont été enregistrées à Guelmim avec 0,8%, à Laâyoune avec 0,7%, à Settat et Beni-Mellal avec 0,6%, à Meknès avec 0,4%, à Marrakech et Tétouan avec 0,3%, et à Agadir, Fès et Rabat avec 0,2%. En revanche, des hausses ont été enregistrées à Al-hoceima avec 1,2% et à Safi avec 0,6%.
 
         Comparé au même mois de l’année précédente, l’indice des prix à la consommation a enregistré une hausse de 0,9% au cours du mois d’avril 2020 conséquence de la hausse de l’indice des produits alimentaires de 2,7% et de la baisse de celui des produits non alimentaires de 0,3%. Pour les produits non alimentaires, les variations vont d’une baisse de 6,3% dans le «Transport» à une hausse de 3,2% dans l’«Enseignement».
 
             Dans ces conditions, l’indicateur d’inflation sous-jacente, qui exclut les produits à prix volatiles et les produits à tarifs publics, aurait connu au cours du mois d’avril 2020 des hausses de 0,1% par rapport au mois de mars 2020 et de 0,9% par rapport au mois d’avril 2019.
 
ipc_avril_2020_fr.docx ipc_avril_2020_fr.docx  (38.95 Ko)
mise en ligne le Mercredi 27 Mai 2020 à 13:00 | Commentaires (0)

Publications

Publications

Alors que le Maroc est appelé à lever le confinement de sa population dans le contexte de la pandémie COVID-19, il est utile de se rappeler que la propagation du virus ne devrait pas s’arrêter pour autant. Elle pourrait être favorisée, en cas de non-respect des règles de protection édictées par les autorités sanitaires et, en particulier, dans les lieux où l’activité économique multiplie les contacts parmi la population, ou encore dans les strates d’habitat où prévaut une promiscuité de la vie quotidienne dans des conditions précaires de logement.

Aussi, avons-nous jugé utile de procéder à une analyse cartographique du potentiel de risques liés à la prévalence de ces facteurs favorisants par région, province et grandes villes et, à titre illustratif, à l’échelle des strates d’habitat pour la ville de Casablanca.

Il reste entendu que ce travail pourrait être dupliqué dans d’autres villes et, comme nous l’espérons, être utile pour une meilleure affectation des ressources logistiques et humaines dans lalutte sanitaire que mène notre pays contre l’extension de la pandémie (maitrise de la mobilité, dépistage, contrôle sanitaire …).
 

Télécharger le document intégral

mise en ligne le Mercredi 27 Mai 2020 à 12:31 | Commentaires (0)

Publications

Publications

بحث حول تأثير فيروس كورونا على الوضع الاقتصادي والاجتماعي والنفسي للأسر : مذكرة حول نتائج البحث


 

Le Haut-Commissariat au Plan (HCP) a réalisé, du 14 au 23 avril 2020, une enquête auprès des ménages pour suivre l’adaptation du mode de vie des ménages sous la contrainte du confinement. 

Cette enquête a ciblé un échantillon de 2 350 ménages représentatif des différentes couches socio-économiques de la population marocaine selon le milieu de résidence, urbain et rural. Elle a pour objectif d’appréhender, notamment, le niveau d’effectivité du confinement, les connaissances des ménages relatives au Covid-19, les actions prophylactiques, l’approvisionnement domestique en produits de consommation et d’hygiène, les sources de revenu en situation de confinement, l’accès à l’enseignement, l’accès aux services de santé et les réactions psychologiques. 

Compte tenu des circonstances du confinement et de l’état d’urgence sanitaire, l’enquête a été réalisée par voie téléphonique en utilisant la méthode de collecte assistée par tablettes.

Cette note donne les premiers résultats en attendant la mise en ligne, sur le site du HCP (www.hcp.ma ), du fichier des données anonymisées de cette enquête. 
 
 

Télécharger le document intégral

mise en ligne le Jeudi 21 Mai 2020 à 16:32 | Commentaires (0)

Publications

Publications

 
L’étude entreprise par le HCP sur la pandémie Covid-19 au Maroc a envisagé plusieurs scénarios d’évolution de cette pandémie. Au-delà du scénario théorique d’évolution naturelle de la pandémie, elle a considéré tout d’abord une évolution tendancielle correspondant à la continuité de la situation actuelle puis dans un second temps différents scénarios de déconfinement.  
 
Selon le scénario dit « tendanciel », la continuité de la situation actuelle de confinement aboutirait à un nombre total d’infectés cumulé à 7.800 cas vers le début de juillet. Le nombre de cas d’infectés actifs qui correspond au nombre des infectés cumulé, net des guérisons et des décès, est supposé atteint le pic durant le mois de Mai avec un chiffre aux alentours de 3.200 cas. Il est estimé, selon la gaussienne, une tendance dégressive des cas infectés actifs vers 2.000 cas au 20 mai et une prévalence très faible de la pandémie en juillet.

Par ailleurs, d’un point de vue purement épidémiologique, tant qu’il n’y a pas un vaccin ou une immunité communautaire acquise, le SARS-COV2 continuera à se propager avec un risque de rebond. Cela étant, les impératifs économiques et sociaux ont amené à envisager des scénarios de déconfinement mais tout en évaluant les risques de nouvelle propagation ainsi que la pression sur le système de santé national. 
Dans le cas de l’hypothèse, retenue par l’équipe, d’une levée de confinement le 20 Mai deux scénarios de déconfinement progressifs sont élaborés. A cette date, on estime que le nombre des cas infectés actifs est de l’ordre de 2.000 cas.
Afin de relancer l’économie, sans pour autant trop exposer la population qui présente un risque élevé de développer des complications vis-à-vis de cette maladie, il est envisagé un scénario dit de « déconfinement restreint ». Ce scénario suppose le déconfinement de la population active occupée âgée de moins de 65 ans non atteinte de maladie chronique. Il aboutirait à 18.720 cas confirmés positifs cumulés en environ 3 mois (100 jours) avec le même pic, déjà enregistré, de 3.200 cas des infectés actifs. Ce qui engendrerait un besoin maximal de 3.200 lits d’hospitalisation (100% d’hospitalisation des infectés actifs conformément à la stratégie nationale), et de 160 lits de réanimation (5% des infectés actifs) et arriverait à 748 décès (4% des infectés cumulés).
Un scénario plus élargi dit de « déconfinement large » suppose le déconfinement de la population active occupée âgée de moins de 65 ans et de la population âgée de moins de 15 ans, non atteinte de maladie chronique. Il a pour objectif d’ouvrir l’économie avec en même temps un retour progressif des activités sociales. La simulation donnerait 31.663 cas confirmés positifs en environ 3 mois (100 jours) avec un pic de 3.200 cas infectés actifs. Ce qui se traduirait par un besoin maximal de 3.200 lits d’hospitalisation (100% d’hospitalisation), de 160 lits de réanimation (5% des infectés actifs) et aboutirait à 1.266 décès (4% des infectés cumulés).
 
Par ailleurs, un déconfinement généralisé de la population totale augmenterait le nombre de contacts par jour des sujets infectés y compris les asymptomatiques, aboutirait à un nombre de reproduction (R0) supérieur à 1 pour lequel la pandémie ne serait pas maitrisée et conduirait à des résultats apparentés au scénario dit « théorique de l’évolution naturelle » de la pandémie.
 
Afin de montrer l’importance du strict respect des mesures barrières, les mêmes scénarios ont été considérés mais cette fois-ci selon une variante, invraisemblable, que la population se comporterait de la même manière qu’avant la prise de conscience de ce virus. Les résultats montrent que, dans environ 3 mois, le nombre des cas infectés cumulés augmenterait de 8 fois rien que pour le scénario de déconfinement le plus conservatif.
 
En conclusion, la réussite des mesures de déconfinement sont tributaires des comportements et supposent que la population continuerait à strictement observer les mesures de distanciation physique et d’autoprotection en parallèle à la politique essentielle de tester et isoler, d’identification précoce des cas infectés et de traitement.
 
 

Télécharger le document

 
document_4_.pdf document(4).pdf  (115.22 Ko)
mise en ligne le Mardi 19 Mai 2020 à 16:22 | Commentaires (0)

Publications

Publications

وضعية سوق الشغل خلال الفصل الأول من سنة 2020


 
Entre le premier trimestre de 2019 et la même période de 2020, l’économie marocaine a créé 77.000 postes d’emploi , résultant d’une création de 80.000 postes  en milieu urbain et d’une perte de 3.000 en milieu rural.

Le secteur des "services" a créé 192.000 postes, celui de l’"industrie y compris l'artisanat" 23.000 postes, alors que les secteurs de l’"agriculture, forêt et pêche" et des BTP ont enregistré une perte de 134.000 et de 1.000 postes d’emploi respectivement .

Dans ce contexte, avec une hausse de 165.000 personnes en milieu urbain et de 43.000 en milieu rural, le nombre total de chômeurs a augmenté de 208.000 personnes au niveau national, s’établissant à 1.292.000 chômeurs.

Le taux de chômage est ainsi passé de 9,1% à 10,5% au niveau national, de 13,3% à 15,1% en milieu urbain et de 3,1% à 3,9% en milieu rural. Ce taux reste relativement élevé parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans avec 26,8%, les femmes (14,3%) et les diplômés (17,8%).

La population active occupée en situation de sous-emploi lié au nombre d’heures travaillées a atteint 443.000 personnes avec un taux de 4 ,1%. La population en situation de sous-emploi lié à l’insuffisance de revenu ou à l’inadéquation entre la formation et l’emploi exercé est de 511.000 personnes (4,7%).  En somme, le volume du sous-emploi, dans ses deux composantes, est de 954.000 personnes. Le taux global de sous-emploi est passé de 9,7% à 8,8% au niveau national, de 8,8% à 8,7% en milieu urbain et de 10,7% à 8,9% en milieu rural. 
 

Hausse du taux d’activité et baisse du taux d’emploi

 
Avec 12.249.000 personnes, la population active âgée de 15 ans et plus a augmenté, entre le premier trimestre de 2019 et celui de 2020, de 2,4% au niveau national (hausse de 3,5% en milieu urbain et de 0,8% en milieu rural). Ainsi, le taux d’activité est passé  de 45,7% à 46,0% au niveau national, de 41,6% à 42,1% en milieu urbain et de 53,0% à 53,3% en milieu rural. 
 
Avec une création de 80.000 emplois en milieu urbain et une perte de 3.000 en milieu rural, l’économie nationale a créé 77.000 postes d’emploi. Le volume global d’emploi est ainsi passé, entre les deux périodes, de 10.880.000 à 10.957.000 personnes. Le taux d’emploi a, quant à lui, reculé de 0,3 point au niveau national, passant de 41,5% à 41,2%. Ce taux a baissé de 36,1% à 35,7%en milieu urbain et de 51,4% à 51,2% en milieu rural.
 
Selon le type d’emploi, 112.000 postes d’emploi rémunérés ont été créés au cours de la période, 97.000 en milieu urbain et 15.000 en milieu rural. L’emploi non rémunéré, composé d’environ 96% d’aides familiaux, a en revanche enregistré une baisse de 35.000 postes, 18.000 en zones rurales et 17.000 en zones urbaines.
 
 
 

Télécharger le document intégral

 
emploi_t1_2020_fr.docx emploi_t1_2020_fr.docx  (67.57 Ko)
mise en ligne le Jeudi 7 Mai 2020 à 02:19 | Commentaires (0)

Publications

Publications

النشرة الفصلية لتحليل الظرفية عدد 36، أبريل 2020


 

Préambule :

L'étude de la conjoncture économique revêt une importance particulière pour les décideurs. C’est un baromètre d'indicateurs de phénomènes annonciateurs de tendances qu'il importe d'appréhender dans les meilleurs délais.

Le Haut-Commissariat au Plan est chargé, dans ce cadre, de la collecte et de l'analyse de l'information de conjoncture, ainsi que de l'établissement des prévisions à court terme des principaux indicateurs de l’activité économique. 
 
Le diagnostic et la prévision conjoncturels sont établis sur la base des études d’informations économiques, monétaires et financières. Les impacts de l’économie mondiale sont saisis à travers le suivi de l'évolution des principales grandeurs dont celles relatives à la zone euro en particulier. 
 
Les données traitées sont, pour la plupart, de périodicité trimestrielle. La publication correspond au trimestre d’estimation. L’évolution des observations est suivie pour le trimestre antérieur et la prévision est élaborée pour le trimestre qui suit. Les prévisions annuelles sont mises à jour avec l'apparition de nouvelles données.
 
Les tableaux annexes retracent une série de données infraannuelles de nature à permettre une appréciation quantitative des évolutions récentes de la conjoncture économique et financière. 


Aperçu des tendances conjoncturelles 
 
Après l’entrée en vigueur du confinement le 2O mars 2020 pour lutter contre la propagation du virus COVID -19, le HCP a élaboré ses estimations pour le premier et le deuxième trimestres 2020 selon une double approche. La première présente ce qu’auraient été les estimations de la croissance économique aux premier et deuxième trimestres avant l’avènement du COVID-19, par référence aux enquêtes réalisées par le HCP et aux informations collectées et sous produites publiées au début de 2020. La deuxième approche tient compte des effets du COVID-19 sur les principaux indicateurs conjoncturels au cours de la période de confinement du 20 mars au 20 mai 2020, en tenant compte des informations collectées auprès des organismes nationaux et internationaux jusqu’au 20 avril 2020.
 
 

Télécharger le document intégral

mise en ligne le Jeudi 7 Mai 2020 à 02:15 | Commentaires (0)

Publications

Publications

مراجعة توقعات الاقتصاد الوطني خلال الفصلين الأول والثاني من 2020


Dans le cadre de ses travaux de veille et d’analyse de la conjoncture et suite à la publication des données récentes sur les activités sectorielles, à la révision à la baisse des perspectives de croissance de l’économie mondiale et au prolongement de la période de confinement sanitaire d’un mois supplémentaire, le Haut-Commissariat au Plan a réalisé une mise à jour de ses principales prévisions trimestrielles pour la première moitié de 2020. Cette note présente les nouvelles estimations de la croissance économique pour le premier trimestre 2020 et relate les prévisions pour le deuxième trimestre.

I. Ralentissement plus accentué de l’activité économique au premier trimestre 2020
 
Les données les plus récentes collectées jusqu’au 20 avril mettent en évidence un ralentissement plus sensible de l’activité durant le premier trimestre 2020, avec une croissance économique qui aurait reflué à +0,7%, au lieu de +1,1% arrêté le 7 avril, sur la base des informations collectées jusqu’au 31 mars. Cette révision à la baisse serait attribuable à l’accentuation du repli de la valeur ajoutée agricole à -4,4%, suite aux faibles performances des productions végétales, en l’occurrence les céréales dont la production se serait abaissée à son niveau le plus bas depuis 2007. Hors agriculture, la croissance de la valeur ajoutée aurait décéléré pour atteindre +1,4%, au lieu de +1,6% prévue le 7 avril. Ce sont, principalement, les activités secondaires qui se seraient le plus contractées, avec un abaissement du rythme de croissance des industries manufacturières et de l’électricité. La croissance du secteur tertiaire serait restée modérée, s’établissant à 2,6% au premier trimestre 2020.
 
 

Télécharger le document intégral

mise en ligne le Vendredi 1 Mai 2020 à 18:11 | Commentaires (0)

Publications

Publications

الرقم الاستدلالي للأثمان عند الإنتاج الصناعي والطاقي والمعدني لشهر مارس 2020


L’indice des prix à la production du secteur des «Industries manufacturières hors raffinage de pétrole» a enregistré une hausse de 0,1% au cours du mois de mars 2020 par rapport au mois de février 2020. Cette augmentation est la résultante de

- la hausse de 0,6% des prix des «Industries alimentaires» et de 0,2% dans l’«Industrie chimique» ;
                                                                                
- la baisse de 0,4% des prix enregistrée dans la «Fabrication d’autres produits minéraux non métalliques», de 0,5%de la «Fabrication de produits métalliques, à l’exclusion des machines et des équipements», de 1,3% du «Travail du bois et fabrication d’articles en bois et en liège», de 0,3%de l’«Industrie d’habillement» et de 0,2%dans la «Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique».
 
Par ailleurs, les indices des prix à la production des secteurs des «Industries extractives», de la «Production et distribution d’électricité» et de la «Production et distribution d’eau» ont connu une stagnation au cours du mois de mars 2020.
 

Télécharger

mise en ligne le Vendredi 1 Mai 2020 à 17:51 | Commentaires (0)

Publications

Publications