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Entre le premier trimestre de 2017 et la même période de 2018, l’économie marocaine a créé 116.000 postes d’emplois nets, 77.000 en milieu urbain et 39.000 en milieu rural, contre une création de 109.000 une année auparavant.
Dans la région Eddakhla Oued Eddahab, l'économie régionale affiche un taux d'activité le plus élevé au Maroc puisque ce taux atteigne 70% contre une moyenne nationale de 47,1% pour l'ensemble des deux milieux. en milieu urbain ce taux est de 55,9% durant les trois premier mois de 2018, la moyenne urbaine nationale étant 42,5%. Le taux de chômage régional au terme de ce premier trimestre est de 9,6% pour l'ensemble de la région et 17,8% pour la ville de Dakhla. Les moyennes nationales étant respectivement 11,5% pour l'ensemble des deux milieux et 15,6% au niveau des villes.
Les "services" ont créés 50.000 emplois, l’"agriculture, forêt et pêche" 43.000, les BTP 32.000 alors que le secteur de l’"industrie y compris l'artisanat" en a perdu 9.000. Le volume global de l’emploi a ainsi atteint 10.882.000 actifs occupés.
Dans ce contexte, avec une hausse de 6.000 personnes en milieu urbain et une baisse de 30.000 en milieu rural, le nombre total des chômeurs a baissé de 24.000 personnes au niveau national, atteignant 1.272.000 chômeurs.
Le taux de chômage est ainsi passé de 10,7% à 10,5% au niveau national, de 15,7% à 15,6% en milieu urbain et de 4,1% à 3,5% en milieu rural. Les baisses les plus importantes du taux de chômage ont été relevées parmi les adultes âgés de 35 à 44 ans (-0,8 point) et les personnes n’ayant aucun diplôme (-0,3 point). En revanche, les hausses les plus importantes ont été enregistrées parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans (+0,2 point), particulièrement parmi les citadins d’entre eux (+2 points).
De son côté, la population sous-employée s’est accrue de 33.000 personnes, s’établissant à 1.090.000 personnes au niveau national. Le taux de sous-emploi a ainsi augmenté de 0,2 point, par rapport au premier trimestre de 2017, passant de 9,8% à 10,0%. Il a augmenté de 10,3% à 10,7% en milieu rural et a stagné à 9,4% en milieu urbain.
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Dans ce contexte, avec une hausse de 6.000 personnes en milieu urbain et une baisse de 30.000 en milieu rural, le nombre total des chômeurs a baissé de 24.000 personnes au niveau national, atteignant 1.272.000 chômeurs.
Le taux de chômage est ainsi passé de 10,7% à 10,5% au niveau national, de 15,7% à 15,6% en milieu urbain et de 4,1% à 3,5% en milieu rural. Les baisses les plus importantes du taux de chômage ont été relevées parmi les adultes âgés de 35 à 44 ans (-0,8 point) et les personnes n’ayant aucun diplôme (-0,3 point). En revanche, les hausses les plus importantes ont été enregistrées parmi les jeunes âgés de 15 à 24 ans (+0,2 point), particulièrement parmi les citadins d’entre eux (+2 points).
De son côté, la population sous-employée s’est accrue de 33.000 personnes, s’établissant à 1.090.000 personnes au niveau national. Le taux de sous-emploi a ainsi augmenté de 0,2 point, par rapport au premier trimestre de 2017, passant de 9,8% à 10,0%. Il a augmenté de 10,3% à 10,7% en milieu rural et a stagné à 9,4% en milieu urbain.
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