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Au premier trimestre 2025, l’économie de la région Tanger-Tétouan-Al Hoceima a fait preuve d’une résilience appréciable dans un contexte contrasté, marqué par une croissance nationale soutenue et un ralentissement mondial.
Sur le plan sectoriel, le secteur halieutique régional a amorcé une reprise notable, avec une hausse de 8,2% en glissement annuel de la valeur des produits débarqués, malgré une baisse de 7,2% des volumes capturés sur la même période, traduisant une amélioration de la valorisation des ressources commercialisées.
Parallèlement, le secteur agroalimentaire a enregistré une forte progression du volume des abattages, qui ont atteint 4 459 tonnes, en hausse de 14,9% par rapport à la même période de l’année précédente, portée par la dérogation exceptionnelle au sacrifice rituel de l’Aïd al-Adha, qui a fortement dynamisé l’activité durant cette période.
Sur le plan sectoriel, le secteur halieutique régional a amorcé une reprise notable, avec une hausse de 8,2% en glissement annuel de la valeur des produits débarqués, malgré une baisse de 7,2% des volumes capturés sur la même période, traduisant une amélioration de la valorisation des ressources commercialisées.
Parallèlement, le secteur agroalimentaire a enregistré une forte progression du volume des abattages, qui ont atteint 4 459 tonnes, en hausse de 14,9% par rapport à la même période de l’année précédente, portée par la dérogation exceptionnelle au sacrifice rituel de l’Aïd al-Adha, qui a fortement dynamisé l’activité durant cette période.
Au quatrième trimestre 2024, la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima a affiché une dynamique économique contrastée, marquée par des performances positives dans certains secteurs et des défis persistants dans d’autres. Le secteur de la pêche a enregistré un net repli, tant en volume qu’en valeur, tandis que les abattages ont également diminué, impactés par les effets conjugués de la sécheresse et de la hausse des coûts de production. En revanche, le secteur touristique a poursuivi sa dynamique positive sur une base annuelle, avec une progression de 28,8% des arrivées et de 26% des nuitées, malgré un léger recul saisonnier par rapport au trimestre précédent. Les établissements d’hébergement, notamment les hôtels 4 étoiles, les maisons d’hôtes (+78,2%) et les hôtels-clubs (+122,6%), ont particulièrement bien performé, portés par une affluence croissante de la clientèle internationale en provenance de la Chine, de l’Allemagne et de l’Italie.
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Au quatrième trimestre 2020, la croissance économique au Maroc régresse de 6%, elle est, cependant, peu favorable par rapport au trimestre auparavant. Cette contraction de l’activité économique est due principalement à la baisse de l’activité agricole (-7,2%), et sous l’effet également du ralentissement de l’activité hors agricole (-5,5%).
La conjoncture à Tanger-Tétouan-Al Hoceima s’avère défavorable ce trimestre, et les indicateurs de l’emploi semblent en discordance avec la croissance. En effet, le chômage passe au-dessus des 11%, tandis que les taux d’activité et d’emploi poursuivent leur baisse, en dépit d’une amélioration du côté des demandeurs d’emploi inscrits au pôle d’intérim. Le dynamisme entrepreneurial est très atone, puisque les créations d’entreprises sont quasi stables. Ainsi, l’investissement privé est modérément relancé. La fréquentation hôtelière rebondit mais reste très faible comparée à son niveau de 2019, ce rebond est porté principalement par la clientèle nationale. En outre, le secteur de la pêche manque de vitalité, et la consommation du ciment est en rebondissement. En revanche les indices des prix à la consommation des métropoles gardent leur mouvement maîtrisé.
La conjoncture à Tanger-Tétouan-Al Hoceima s’avère défavorable ce trimestre, et les indicateurs de l’emploi semblent en discordance avec la croissance. En effet, le chômage passe au-dessus des 11%, tandis que les taux d’activité et d’emploi poursuivent leur baisse, en dépit d’une amélioration du côté des demandeurs d’emploi inscrits au pôle d’intérim. Le dynamisme entrepreneurial est très atone, puisque les créations d’entreprises sont quasi stables. Ainsi, l’investissement privé est modérément relancé. La fréquentation hôtelière rebondit mais reste très faible comparée à son niveau de 2019, ce rebond est porté principalement par la clientèle nationale. En outre, le secteur de la pêche manque de vitalité, et la consommation du ciment est en rebondissement. En revanche les indices des prix à la consommation des métropoles gardent leur mouvement maîtrisé.
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