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Portes Ouvertes Safi 2015
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Fête de la femme Safi 2018
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Evénements de la direction
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Le marché du travail au Maroc : Défis et opportunités
La présente note s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la convention signée, en avril 2016, par le Haut-Commissariat au Plan (HCP) et la Banque mondiale afin de mener des travaux d’intérêt commun.
Parmi plusieurs axes de coopération, les deux parties ont convenu d’élaborer conjointement des notes d’information pour les utiliser dans le document de la Banque mondiale intitulé « Diagnostic systématique pays ».

Dans ce cadre, un groupe de travail composé de spécialistes relevant de la Division des Enquêtes sur l'Emploi et de l'Observatoire des Conditions de Vie de la Population du HCP et de l’Unité Pauvreté et Équité de la Banque mondiale ont élaboré cette note sur la situation du marché du travail au Maroc.

La richesse des données statistiques et la capacité analytique et technique du HCP permettent en effet une analyse fine de la situation du marché du travail, ses défis et ses opportunités.

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 Pauvreté et prospérité partagée au Maroc du troisième millénaire, 2001-2014
La présente note s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la convention signée, en avril 2016, par le Haut-Commissariat au Plan et la Banque mondiale afin de mener des travaux d’intérêt commun.
Parmi plusieurs axes de coopération, les deux parties ont convenu d’élaborer conjointement des notes d’information pour les utiliser dans le document de la Banque mondiale intitulé « Diagnostic systématique pays ».

Dans ce cadre, un groupe de travail, composé de spécialistes de l’Observatoire des Conditions de Vie de la Population relevant du Haut-Commissariat au Plan et de l’Unité Pauvreté et Équité de la Banque mondiale, a élaboré cette note sur la pauvreté et la prospérité partagée au Maroc.

La richesse des données statistiques et la capacité analytique et technique du HCP ont permis la réalisation de cette étude. 

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L’économie nationale a, comme on le sait, enregistré, en cette année 2015, un produit intérieur brut (PIB) de 967,5 milliards de DH en volume et de 988,02 milliards de DH aux prix courants, soit une croissance de 4,5 % et une augmentation en valeur de 6,8% par rapport à 2014. Les comptes régionaux relatifs à 2015 présentent le PIB par région et par groupe de branche d’activité ainsi que les dépenses de consommation finales des ménages. Ces comptes intègrent, pour la première fois, les PIB en volume et la croissance par région.


Les Comptes régionaux de l’année 2015
Les comptes régionaux de 2015 font ressortir des disparités des taux de croissance du PIB en volume entre les régions. Quatre régions ont enregistré des taux de croissance largement supérieurs à la moyenne nationale (4,5%). Il s’agit des régions de Dakhla-Oued-Ed Dahab (16,5%), de  Laâyoune-Saguia al Hamra (10,2%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (7,9%) et de Casablanca-Settat (7%).

Deux régions ont marqué des taux de croissance proches de la moyenne nationale ; il s’agit de Béni Mellal-Khénifra (4,3%) et de Guelmim-Oued Noun (4,1%).

Les autres régions présentent des taux de croissance entre 2,2% (région de Rabat-Salé-Kénitra) et  -0,1% (région de Fès- Meknès).

Par ailleurs, près de la moitié de la croissance nationale (48,1%) est à mettre à l’actif de la région de Casablanca-Settat dont la contribution  à la croissance du PIB  est de 2,2 points.

Les régions de Tanger-Tétouan-Al Hoceima et de Rabat-Salé-Kénitra participent pour 25% à la croissance du PIB en volume, soit 1,2 point, avec 0,8 et 0,4 point respectivement.

Les neuf régions restantes contribuent pour près d’un quart  (26,9%) de la croissance enregistrée en 2015.

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Le Haut Commissariat au Plan élabore le Budget Economique Exploratoire 2018 qui présente une révision de la croissance économique nationale en 2017, ainsi que les perspectives pour l’année 2018. Ce budget est de nature à permettre au gouvernement et aux acteurs socio-économiques de prendre conscience de l'évolution économique prévisible en 2018. Il constituera, également, un cadre de référence pour la fixation d'objectifs économiques alternatifs dans le cadre de la Loi de Finances 2018.


L’élaboration de ce budget économique tient compte des agrégats provisoires arrêtés par la comptabilité nationale pour l’année 2016 et des résultats des enquêtes trimestrielles et des travaux de suivi et d’analyse de conjoncture menés par le Haut Commissariat au Plan durant le premier semestre de l’année 2017. Ces prévisions sont, également, sous-tendues par un ensemble d'hypothèses relatives à l'évolution des facteurs exogènes régissant l'économie marocaine, aussi bien sur le plan national qu'international.

Les prévisions pour l’année 2018 sont basées sur la réalisation d’une production céréalière moyenne durant la campagne agricole 2017/2018 et la reconduction, durant l’année 2018, de la politique budgétaire de l’Etat en 2017, en matière de fiscalité des dépenses d’investissement et de fonctionnement.

Les perspectives, présentées ci-après, seront modifiées lors de l'élaboration du budget économique prévisionnel 2018, qui sera publié au mois de janvier prochain pour tenir compte des actions de politique économique retenues dans la Loi de Finances 2018 ainsi que des évolutions éventuelles que connaîtrait l'environnement économique national et international.

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L’objectif de cette publication est de mettre à la disposition des différents utilisateurs une base d’informations permettant, notamment, de faciliter la prise de décision et de fournir les éléments requis pour une éventuelle évaluation de l’impact des politiques publiques sur la qualité de vie de la population.
Outre celles produites par le Haut Commissariat au Plan (HCP), cette publication fournit également des données émanant d’autres départements dont notamment ceux de la Santé, de l’Education, de la Formation Professionnelle, de la Jeunesse et des Sports et du Centre Cinématographique Marocain.


Les indicateurs sociaux du Maroc 2013-2014
S’agissant des informations produites par le HCP, la présente publication se réfère au recensement général de la population et de l’habitat1 qui fournit la base des projections démographiques nécessaires pour l’élaboration des indicateurs relatifs à la démographie, à l’éducation, à la santé, etc. L’enquête nationale sur l’emploi, les enquêtes sur la consommation et les dépenses des ménages et les enquêtes sur les revenus et les niveaux de vie des ménages fournissent respectivement des indicateurs sur le marché du travail et sur les conditions de vie des ménages.
Concernant la mesure de la mortalité infantile et maternelle, des données actualisées sont disponibles à partir de la deuxième enquête nationale démographique réalisée par le HCP au cours de 2009-2010. Le Ministère de la Santé fournit, lui aussi, des informations sur la fécondité, le personnel médical et paramédical, l’infrastructure hospitalière, etc.


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Le Haut-commissariat au Plan (HCP) a publié en juin 2016 les comptes nationaux provisoires de l’exercice 2015 établis selon la base 2007 et en conformité avec le SCN 2008. Les données se rapportent notamment aux activités de production, les échanges extérieurs et les principaux agrégats de la Nation comme elles présentent les tableaux des ressources et des emplois.


Comptes nationaux  des secteurs institutionnels 2015 (Base 2007)
Pour compléter ces résultats, le HCP  vient de produire la séquence des comptes de ce même exercice pour les agents économiques résidents ainsi que leur relation avec le reste du monde, il s’agit des comptes:
  • des sociétés non financières ;
  • des sociétés financières ;
  • des administrations publiques ;
  • des ménages y compris entreprises individuelles
  •  des  institutions sans but lucratif au service des ménages.
 
En plus de ces comptes, le HCP a produit également :
  • le tableau des comptes économiques intégrés (TCEI);  
  • le tableau des opérations financières (TOF).
 
Ces comptes renseignent sur certains aspects de l’évolution de l’économie nationale. Ils permettent de présenter tous les flux économiques et financiers réalisés par les unités économiques à l’intérieur et avec l’extérieur sous la forme de comptes et de tableaux et d’apporter des informations notamment sur la croissance économique et l’évolution de la demande et du comportement des agents économiques ainsi que les changements dans les structures économiques.
 
L’approche sectorielle des comptes nationaux présente la séquence des comptes financiers et non financiers des secteurs institutionnels. Les comptes non financiers retracent, pour chacun des secteurs et sous secteurs, comment les revenus générés par les activités de production sont distribués et redistribués entre agents économiques et comment ces revenus disponibles sont ensuite consommés ou épargnés pour financer la formation brute de capital fixe. Quant aux comptes financiers, ils reprennent les contreparties monétaires des transactions réelles  et montrent comment les différents secteurs utilisent leurs excédents ou financent leurs besoins.

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L’économie nationale a, comme on le sait, enregistré, en cette année 2014, un produit intérieur brut (PIB) en valeur de 923,7 milliards de DH, en augmentation de 2,9% par rapport à 2013. Les comptes régionaux relatifs à ce dernier, en donne une répartition par région, par groupe de branches d’activité ainsi que les dépenses de consommation finale des ménages, au cours de cet exercice.


Note d’information relative aux comptes régionaux de l’année 2014
C’est ainsi que cinq régions ont enregistré des taux d’accroissement du PIB supérieurs à la moyenne nationale. Il s’agit des régions de Guelmim-Oued Noun avec (15,4%), de Rabat-Salé-Kénitra (7,1%), de Casablanca-Settat (5,3%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (4%)  et de l’Oriental (3,3%).

Les régions de Fès–Meknès et de Souss-Massa ont affiché, de leur coté,  des rythmes de croissance positifs, mais inférieurs à la moyenne nationale, avec 2,7% et 2,4% respectivement. 

Les régions de Drâa-Tafilalet, d’Ed Dakhla-Oued-Ed Dahab, de Marrakech-Safi, de Laâyoune-Saguia al Hamra et de Béni Mellal-Khénifra ont marqué, en revanche, des croissances négatives, respectivement de (-0,3%), (-2,3%), (-3,7%),  (-4,7%) et (-8,8%).

A cet effet, deux régions ont participé  par  48,3% au PIB national, celle de Casablanca-Settat avec 32 % et celle de Rabat-Salé-Kénitra avec  16,3%.

Cinq régions ont créé 40,3% du PIB : la région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima avec 9,4%, de Fès-Meknès avec 9,4%, de Marrakech-Safi avec 9%, de Souss-Massa avec 6,6% et  de Béni Mellal-Khénifra avec 5,8%.

Les régions de l’oriental, de Drâa-Tafilalet et les trois régions du sud n’ont contribué qu’à hauteur de 11,3% à création de la richesse nationale, avec  (4,9%), (2,7%) et (3,7%) respectivement.

Dans ces conditions, les disparités du PIB entre les régions se sont accentuées. L’écart absolu moyen (la moyenne des écarts absolus entre le PIB des différentes régions et le PIB régional  moyen) est passé de 50,4 milliards de DH en 2013 à 53,2 milliards en 2014.

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Population légale de la Province de Safi selon le RGPH 2014 : 691 983

Journée Mondiale de la Statistique, Safi 2015