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Portes Ouvertes Safi 2015
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Fête de la femme Safi 2018
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Evénements de la direction
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Depuis 2004, la cartographique de la pauvreté au Maroc s’est référée à l’approche monétaire de la Banque mondiale. Les indicateurs spatialisés qui en découlent n’expriment que la distribution des ressources financières dont disposent les ménages, notamment la dépense comme mesure du niveau de vie de la population.


Principaux résultats de la cartographie de la pauvreté multidimensionnelle 2004-2014: Paysage territorial et dynamique
L’approche de la cartographie de la pauvreté multidimensionnelle consiste, quant à elle, à fournir des indices statistiques sur le dénuement social en termes de privation sur des espaces géographiques homogènes. Elle produit une base de données désagrégée à l’échelle locale la plus opérationnelle permettant d’identifier les poches de la pauvreté pour des petites zones géographiques, telles que les communes, les quartiers urbains et les douars ruraux. Il s’agit d’une approche holistique pour mieux connaitre la distribution de la pauvreté multidimensionnelle pour un niveau de désagrégation inférieur à celui typiquement considéré par les enquêtes auprès des ménages.

Ces enquêtes concernent un échantillon restreint de la population et ne permettent pas de construire des bases de données sur la pauvreté multidimensionnelle à l’échelle locale la plus fine. La représentativité de telles enquêtes se limite généralement à la région. Les indices régionaux de la pauvreté multidimensionnelle qui en découlent donnent des estimations moyennes par région, occultant la dispersion spatiale de ce phénomène à l’échelle des provinces et des communes. 

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Présentation par Monsieur Ahmed Lahlimi Alami, Haut Commissaire au Plan de l’Etude sur le potentiel de diversification de l’économie marocaine et les nouvelles opportunités de sa croissance
Nous avons eu, à plusieurs reprises, l’occasion, de relever l’impératif catégorique d’une diversification du tissu productif de notre économie, afin d’améliorer, dans la durée, notre épargne intérieure, par une plus grande distribution d’emplois et de revenus et notre épargne nationale par une offre exportable plus forte et plus compétitive. Nous avions déjà, dès 2012, soulevé cette question, en soulignant, pour la première fois, et en le réitérant, depuis, à chacune des présentations de notre budget économique, que cette diversification était indispensable à un  relai par une demande extérieure d’une dimension excessive de la demande intérieure devenue le moteur de notre croissance économique. C’est en cela que nous n’avions cessé de justifier nos appels réitérés à une inflexion de notre modèle de développement que nous présentions comme étant en état d’essoufflement, voire proche de ses limites.
 
Nous avons réaffirmé l’urgence de cette même problématique dans les conclusions de notre étude sur le rendement du capital physique au Maroc et mis, dans le même but, l’accent sur la nécessité de consolider l’accumulation de l’investissement en l’orientant avec plus de volontarisme vers les secteurs productifs de notre économie. Les mêmes conclusions nous les avons réitérées au cours de nos travaux sur la mesure du capital humain ou encore dans les multiples analyses périodiques sur la situation du marché de l’emploi dans notre pays et ses effets sur la faible valorisation des ressources humaines.

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Dans la continuité de ses travaux de réflexions sur le modèle de développement au Maroc, notamment sur les sources de la croissance économique nationale, l’accumulation du capital physique et du capital humain, l’allocation sectorielle des facteurs et sur la redistribution sociale et spatiale des fruits de la croissance, le HCP a réalisé deux études pour appréhender dans la première les déterminants structurels de l’évolution des niveaux de vie et dans la deuxième le partage du surplus de productivité de l’économie entre les différents agents économiques.


Présentation des grandes lignes de l’étude sur les sources de la création de la richesse au Maroc et sa répartition par Monsieur Ahmed Lahlimi Alami, Haut Commissaire au Plan
I- Les déterminants structurels de l’évolution du PIB par habitant

L’objectif est d’appréhender la contribution des facteurs structurels à la croissance de la valeur ajoutée (VA) par habitant au Maroc, notamment l’effet démographique, l’effet emploi et l’effet productivité du travail. L’accent est mis également sur la contribution de la réallocation sectorielle de l’emploi, de l’intensité capitalistique et de la productivité globale des facteurs à l’amélioration de la productivité du travail.

Le facteur démographique est approché par le rapport du nombre de personnes en âge de travailler à la population totale. Il appréhende la charge de financement de l'ensemble de la population supportée par la population active. Une amélioration de ce ratio démographique favorise l’augmentation du PIB par habitant.

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A l’occasion de la journée nationale de la femme, le 10 octobre 2017, le Haut-commissariat au Plan présente quelques aspects des femmes chefs de ménage issus du recensement de la population et de l’habitat 2014.


Note d’information du Haut-Commissariat au Plan à l’occasion de la journée nationale de la femme du 10 octobre 2017
Un ménage sur six est dirigé par une femme

Sur les 7.313.806 ménages recensés au Maroc en 2014, 1.186.901 sont dirigés par des femmes, soit près d’un ménage sur six (16,2%). Cette proportion est restée presque stable en comparaison à celle de 2004 (16,33%). Elle est toutefois plus élevée en milieu urbain (18,6% ou 896.091 ménages) qu'en milieu rural (11,6% ou 290.810 ménages).

La région de Guelmim-Oued Noun enregistre une proportion de femmes chefs de ménages plus élevée que la moyenne nationale. Elle est de 18,7% correspondant à 16.838 ménages. En seconde position vient la région de Béni Mellal-Khénifra avec 18% ou 93.389 ménages, suivie par le Grand Casablanca-Settat (17,4% ou 271.463 ménages) et Rabat-Salé-Kenitra (17,3% ou 176.052 ménages). En revanche, les régions de Laayoune-Sakia El Hamra comprend 11.876 ménages, Tanger-Tétouan-Al Hoceima compte 119.886 ménages et Marrakech-Safi 126.289 ménages. Avec ces effectifs ces régions enregistrent des proportions plus faibles que la moyenne nationale, avec respectivement 15,1%, 15% et 13,6% de l’ensemble des ménages de la région.  

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Afin de respecter les normes internationales en matière de renouvellement de l’année de base de la comptabilité nationale qui fixe la périodicité des enquêtes de structure à 5 ans, et compte tenu des mutations qu’a connues le tissu économique national ces dernières années, le Haut Commissariat au Plan a réalisé, en 2015, l’enquête nationale sur les structures économiques.


Enquête nationale sur les structures économiques 2015 : principaux résultats du secteur des industries manufacturières
L’enquête a touché un échantillon de 15 000 entreprises organisées (disposant d’une comptabilité formelle conformément à la réglementation comptable en vigueur au Maroc), opérant dans les secteurs de la pêche, de l’énergie, des mines, de l’industrie industrie manufacturière, du bâtiment et travaux publics, du commerce et des services marchands non financiers au titre de l’exercice 2014.
 
L’enquête s’est assignée pour objectif principal de fournir à la Comptabilité Nationale les données requises pour l’élaboration des comptes de production et d’exploitation par branche d’activité économique et ce, selon la nouvelle année de base 2014. L’enquête permettra, par ailleurs, aux décideurs et opérateurs économiques, qu’ils soient publics ou privés, de disposer d’une batterie d’indicateurs reflétant aussi bien la structure de production et de consommation par branche d’activité que le comportement des chefs d’entreprises dans les domaines de consommation d’énergie, de gestion des ressources humaines, d’investissement, de financement, etc.  
 
La présente note relate les principaux résultats de l’enquête relatifs aux entreprises organisées opérant dans l’industrie manufacturière. La première partie présente la situation du secteur. La deuxième partie, quant à elle, relate ses principales structures, tandis que la troisième expose quelques indicateurs économiques et financiers. 

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Suite à la publication des résultats du dernier Recensement Général de la Population et de l’Habitat de 2014, le Haut-commissariat au Plan a procédé à l’actualisation des projections de la population aux niveaux national, urbain et rural, selon les normes internationales en vigueur et ce selon trois variantes : « haute », « moyenne » et « basse ».


Les projections de la population et des ménages entre 2014 et 2050
La population du Maroc passerait, selon la variante moyenne, à 43,6 millions en 2050 au lieu de 33,8 millions d’habitants en 2014, soit une croissance additionnelle moyenne de 272 mille habitants par an, qui est l’équivalent de la population d’une ville moyenne comme Séfrou.
L’évolution démographique marocaine serait principalement urbaine, due en partie à l’exode rural et à l’urbanisation des zones rurales. Les villes marocaines abriteraient, en 2050, 73,6% des habitants du pays au lieu de 60,3% en 2014, avec respectivement 32,1 millions et 20,4 millions. La population rurale connaîtrait, en revanche, un léger recul de son effectif ; de 13,4 millions de personnes en 2014, elle serait de 11,5 millions vers 2050.

Une baisse progressive des effectifs de la population jeune

Les effectifs des enfants de moins de 15 ans connaîtraient une baisse due à la diminution supposée de la fécondité entre 2014 et 2050. Ainsi, les effectifs passerait pour les enfants de 4-5 ans, enfants d’âge préscolaire, de 1,3 millions à 1 million, pour les enfants de 6-11 ans, enfants scolarisables dans le primaire, de 3,6 millions à 3,2 millions et pour les enfants de 12-14 ans, enfants scolarisables au deuxième cycle du fondamental, de 1,8 millions à 1,6 millions.

La population en âge d’activité en augmentation

La population potentiellement active, 15-59 ans, serait de 25,6 millions en 2050 au lieu de 21,1 millions en 2014. L’effectif de la population âgée de 18-24 ans, considérée comme celle des nouveaux entrants au marché du travail, connaîtrait un faible accroissement de 4,3 millions en 2014 à 4,5 millions en 2032. Au-delà, elle diminuerait sensiblement pour atteindre 3,8 millions en 2050, enregistrant une baisse d’environ 10% sur la période des projections.

Le vieillissement de la population en accentuation

Les personnes âgées de 60 ans ou plus verraient leur effectif s’accroître à un rythme soutenue de 3,3% par an en moyenne entre 2014 et 2050. Cette population serait multipliée par plus de 3 fois passant de 3,2 millions à 10,1 millions. Elle représenterait 23,2% de la population totale alors qu'elle ne constituait que 8,1% et 9,4%, respectivement en 2004 et 2014.

Un doublement du nombre des ménages

Le nombre de ménages atteindrait 13,7 millions au lieu de 7,3 millions, soit 177 mille ménages additionnels par an, en moyenne.
L'accroissement du nombre de ménages s'accompagnerait d'un changement dans la structure, selon l’âge et le sexe, des chefs de ménage. Ainsi, la prédominance masculine tendrait à diminuer et le poids des ménages dirigés par des femmes passerait de 16% à 21% entre 2014 et 2050.

Une diminution de la taille moyenne des ménages

La taille moyenne des ménages connaîtrait une baisse significative, passant de 4,6 personnes en 2014 à 3,2 en 2050. Elle serait due au fléchissement de la fécondité entrainant la baisse du nombre moyen d’enfants par ménage et à l’accroissement de la nucléarisation des familles induisant une diminution du nombre moyen d’adultes par ménage.

Cinq régions contribueraient par près de trois quart au croît démographique total

La répartition de la population du pays selon les régions et les provinces a été projetée uniquement jusqu’en 2030 pour des considérations techniques concernant la stabilité des évolutions fondant les paramètres démographiques.
Il en ressort que les cinq régions, les plus peuplées en 2014, continueraient à l’être en 2030 et contribueraient par environ 74,3% à l’accroissement démographique total du Maroc. Il s’agit du Grand Casablanca-Settat (26,2%), de Rabat-Salé-Kénitra (13%), de Tanger-Tétouan-Al Hoceima (12%), de Sous-Massa (11,6%) et de Marrakech-Safi (11,4%). 
Par ailleurs, les régions du Sud connaîtraient les taux d’accroissement annuel moyen les plus élevés avec un taux de 1,4%, supérieur à la moyenne nationale pour la période, de 0,96%. En revanche, les régions de Darâa-Tafilalet, Béni-Mellal- Khénifra et Fès-Meknès s’accroitraient à un rythme plus faible, aves un taux d’accroissement de moins de 0,6% en moyenne par an.

Douze provinces constitueraient près des quatre dixièmes de la population totale du Maroc

En 2014, douze provinces constituaient, à elles seules, 39,6% de la population totale du Maroc. Elles continueraient à avoir presque le même poids vers 2030 avec 38,9% de la population du Maroc. Il s’agit des provinces de Casablanca; Marrakech; Fès; Tanger-Assilah; Kénitra; Salé; Taroudannt; Meknès; El Jadida; Safi; Taounate et Settat, qui abritent de grandes municipalités ou d’arrondissements de plus de 100 mille habitants.
Les provinces les plus dynamiques au plan démographique seraient celles de Médiouna et Nouaceur avec un taux d’accroissement de 5,8% et Oued Ed-Dahab (4,4%) entre 2014 et 2030, suivies des préfectures de M'Diq-Fnideq et Skhirate-Témara avec 3,1%.
Les provinces qui connaitraient une forte régression et un taux d’accroissement négatif seraient celles de Taza (-1,0%), Sidi Bennour  (-1,1%), Rabat  (-1,6%), Driouch (-1,4%), Sidi Ifni (-1,4%) et Aousserd (-2,0%).

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A l’occasion de la célébration de la Journée Nationale de la Femme le 10 octobre 2014, le Haut-Commissariat au Plan réédite ce recueil de données statistiques sur l’évolution de la situation jusqu'à 2015 de la femme marocaine.


La femme marocaine en chiffres:Tendances d’évolution des caractéristiques démographiques et socioprofessionnelles 2016

Le Haut-commissariat au Plan présente ce recueil de données statistiques et de graphiques sur l’évolution jusqu’à 2015 de la situation de la femme marocaine.

Outre des informations sur les structures et les phénomènes démographiques (natalité, mortalité, nuptialité, divorce, etc.) et l’éducation-formation, ce document comporte des données sur la violence à l’égard des femmes, la pauvreté et la vulnérabilité ainsi que sur la situation de la femme dans le marché de travail et son emploi du temps.

Les informations contenues dans ce recueil, sont présentées aussi bien pour l’ensemble du Maroc que pour les deux milieux urbain et rural. Elles proviennent principalement des enquêtes statistiques et recensements réalisés par le HCP; mais également des statistiques produites par certains départements ministériels dont notamment l’Education Nationale, la Justice, la Santé, les Finances ou encore la
Formation Professionnelle.

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Population légale de la Province de Safi selon le RGPH 2014 : 691 983

Journée Mondiale de la Statistique, Safi 2015


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